la cabane violette

La forêt interdite existe depuis des siècles et des siècles. Plus elle
Vieillit, plus elle devient encombré de feuillages, et d'arbres sinistres, permettant aux créatures magiques de s'y camoufler. Ses sentiers, sont morts depuis longtemps, c'est pourquoi s'y perdre est si facile.

J'habite près de la cabane d'Hagrid, non loin dans la forêt, facilitant ainsi mes allés et venues à Poudlard. Personne n'a jamais osé approcher ma demeure, car jamais personne du personnel de l'école, ni même Dumbledore, ne parle de ma cabane, question de ne pas attiser la curiosité de certains élèves un peu trop téméraires.

Du point de vue extérieur, ma cabane est ronde et couleur marron. Elle est recouverte de mousse et camoufler de feuillages et de plantes grimpantes aux couleurs miroitantes. La porte d'entrée est en bois.
Il n'y a qu'une seule pièce a l'intérieur. Les murs sont couverts d'une vieille tapisserie humide au fond violet et aux petits motifs fleurals couleur sable. Le tout, surchargé d'une vingtaine de tableaux aux portraits vivants, de grandeurs différents. Une petite table ronde se trouve au milieu de la pièce accompagnée d'une chaise en bois. Plus au fond à gauche se trouve un gros coussin rembourré de paille et à droite, un chevalait et tout un nécessaire de peintures, pinceaux, bols à préparations et des flacons contenant plusieurs substances magiques.

Je vis en ermite depuis le détrônement de Lord Voldemort. Ma vie y est paisible, et la solitude est un ennemi auquel on fait vite abstraction d'ignorer. Du moins, L'on tente d'y être stoïque, mais pour être honnête on ne s'y fait jamais vraiment. C'est comme un poids à porter au quotidien. L'âme est plus lourde à vivre et les rêves en sont affectés. C'est un duel contre personne, seulement vous et le même vide qui vous poursuit depuis toutes ces années. Parfois, j'ai peine à me rappeler se que c'est que d'avoir une famille, la joie que l'on éprouve à dîner aux côtés de quelqu'un de vrai, en chair et en os, et non des portraits, qui n'existent pas réellement.

Aujourd'hui, en cet après- midi ensoleillé, je décide d'aller me balader et cueillir quelques baies, et autres fruits qui me permettra de créé d'autres couleurs pour les prochaines toiles à venir. Après quelques heures, je m'en retourne chez moi.
Au loin, je vois que la porte de ma maison est ouverte, et j'y entends un vacarme de cris stridents. Tous les tableaux semblent affolés, car un intrus se trouve parmi- eux.

Si il y a une chose qui ne marche pas sur cette foutue carte, c’est bien qu’il manque des détailles sur la forêt interdite. D’ailleurs, c’est ce qui m’a frappé lorsque je me suis levé se matin. C’est peut-être ridicule comme ça mais, c’est vrai quoi ! Bon, il est sur que c’est difficile de mettre des points de repère dans un bordel pareille, en plus je ne sais même pas si la forêt se modifie, vous savez les arbre qui se déplace… mouais -.- … Donc première chose que j’ai fait en me levant se matin, je dirais vers deux heure du mat, puis que le soleil n’ai pas encore levé, je me suis habillé, je choppé la carte du maraudeur et je suis sortie dans la forêt. Si je n’étais pas un génie en sortilèges et enchantements, je crois que jamais je n’aurais réussie à déchiffré cette carte, et le pire dans tout ça c’est que j’ai aussi découvert comment elle a été conçue, donc j’ai la possibilité de la modifier. Pal mal hein ? hein ? hein ? hum hum donc, je suis dans la forêt depuis au moins trois heure et je peux vous dire qu’ici, il fait atrocement noir, je ne peux même pas vous dire si le soleil est levé ou non…. Et je crois que je viens de piller dans un merde de je-sait-pas-quoi c’est visqueux et dégoûtant. Par contre, j’ai trouvé plein plein plein de champignons hallucinogène, dooooo je crois que le prochain cour de potion vas être des plus constructif. Je cueille un dernier champignon pour la route. Pour le moment je n’est rien trouvé comme bon points de repère, je n’ai pas eux a toucher à la carte une seul fois, ça valais la peine de voler de l’encre et une plume à George.

C’est en passant par la gauche que je devrais… ha na, à droite alors….mmm non plus génial c’est bien partie, je crois que je suis rester trop longtemps avec mes amis les champignons -.-, donc je me dirige vers heuuu lavant ou c’est peut-être l’arrière … ???….. bref, en tentant de me retrouvé dans tout se brouhaha…C’est avec une chance inouïe, dieu soit louer même si je ne crois aucunement en toi, que je finis par aboutir devant un semblant de maison. Si se n’était pas du panneau de bois qui sert de porte je crois, même avec mon grand sens de l’observation, que je n’aurais jamais trouver la demeure, d’ailleurs, il semble y avoir une infinité de personne à l’intérieur. J’ouvre la porte suivie d’un petit grincement et la conversation semble cesser. Je passe ma tête dans l’entrebâillement de la porte…daaa j’y vois rien. Je prend donc l’initiative de rentré. Sincèrement, je n’ai vraiment l’ombre d’une instant pensé que je ne suis pas à ma place. Je ne suis pas tellement polie, bien que c’est totalement inconscient et que ma curiosité pousse souvent trop loin. S’aurait pu faire un excellente point de repère si je savais où j’étais. Il fait noir, y’a rien de vraiment rassurant. Après quelque instant je réussi finalement à y voir un peu mieux. Se qu’il y a de vraiment étrange c’est qu’il n’y a absolument personne. Je vous jure…. Rien, vide. Pourtant j’était sur d’avoir entendu quelqu’un même plusieurs personne, une centaines je dirais. Je m’avance donc vers la petite table que je tâte du bout des doigt pour finalement y trouver une chandelle que j’allume d’un « inflammaré » et une petite flamme s’allume au bout de chandelle. Deux seconde plus tard, c’est un gros brouhaha de cris et de plainte…. Je ne peut même pas entendre se qu’ils disent exactement ni même où il son exactement tellement les cris et les plainte sont intense. Je lâche la chandelle qui vas s’écraser sur le sol et s’éteint sur le cou. Je plaque mes mains sur mes oreilles et tente de trouver le source bien que maintenant je ne vois définitivement plus rien.

Jamais depuis que je vis avec ces tableaux je ne les aie vues aussi affolés. Je lachai toute se que j'avais entre les mains et accourue vers ma maison. Je sentis mes tympans sciller de plus belle une fois entrer à l'intérieur. Instinctivement, je courbai mon dos et tenta de me boucher les oreilles. De mon bras droit je leurs fis signe d'arrêter. Ce qu'ils firent après de s'être écriés d'une même voix:

« UN MANGEMORT! AHH! IL EST VENU POUR DÉROBER LE JOURNAL!!»

Et d'un coup, tout les tableaux cessèrent de crier. Ce fut le silence complet. Je m'avancai vers l'intru, mais ne pu identifier si c'était bel et bien un serviteur de Voldemort. Bernadette, une toute petite toile, me chuchota:

« Prend la chaise et assome- le! Vite avant qu'il ne retrouve ses esprits!»

Le reste de la scène se déroula sans que j'en aie réelement conscience. Ma peur avait pris sur ma raison, je ne réfléchissais plus rationnelement. Un frisson parcouru mon dos, et mes bras las s'empara le plus silencieusement possible de la chaise. Je la levai dans les airs, retint mon souffle et lui envoya un coup sur la tête et m'enfuit du plus vite que je pus, plus profondément dans la fôret, plus précisément, dans la caverne de Kavilrine. Je n'avais pu voir l'intru, mais se que je savais c'est qu'il fallait que j'en parle à Dumbledore pour que je puisse déménager à un autre endroit. Si c'était bien un mangemort, je devais lancer l'alarme.

« UN MANGEMORT! AHH! IL EST VENU POUR DÉROBER LE JOURNAL!!»

c’est peut-être la seul chose que j’ai pus entendre dans tout le brouhaha. Et puis soudainement tout s’arrête. Je débouche mes oreilles et j’ouvre les yeux à la recherche de la cause. Lentement je me remet debout, mais à peine relever que je vois en face de moi deux yeux doré me fixer et puis c’est le néant. Je ne sais pas si vous vous êtes déjà évanouie si oui vous devriez me comprendre. C’est effets vraiment étrange, même effrayant et déstabilisant. La dernière image qu vous avez vue vous revient continuellement en tête comme des flash, vous essayer de comprendre dans qu’elle position vous vous trouvé. Vous avez l’impression que toute votre corps est endolorie et vous vous demandez un instant s’il vous manque des membres tellement vous ne sentez rien. C’est lorsque c’est impression d’un million de fourmis vous montant sur les jambes vous prend et vous vous rendez compte de votre situation. C’est juste après que vous sentez l’énorme mal de crâne vous prendre et un goût métallique dans la bouche. C’est vraiment facile de vous décrire pour le nombre de fois où je me suis retrouvé dans une situation semblable. Par contre, je ne m’étais pas attendu a avoir un tell accueil.

Premièrement il y à plusieurs chuchotements. Vraiment beaucoup trop, s’il se crois subtile ou encore qu’il tente de me cacher le contenu de leurs conversation c’est raté. De touts façon même si je ne les entendais pas il serais facile de savoir qu’il parle de moi. Je me lève doucement et prend ma baguette.

-Lumos… dit-je dans un murmure.

Une faible lumière s’allume sur le bout de ma baguette, j’aurais du y penser plutôt, pour un génie il n’en est rien parue jusqu’à maintenant. Le voix cesse et je sens une multitude de regard posé sur moi. Je lève ma baguette devant moi pour découvrir….. Dooooo mais vraiment quel idiot je fait, j’aurais du y penser plutôt, je sas je me répète mais les fait son là. Plein, plein, mais plein de tableaux sont accroché aux murs. D’ailleurs les habitant ont du tous se cacher puis que les tableaux semble vides. Je scrute l’endroit pour y découvrir beaucoup de nécessaire a peinture ou autre utile à la fabrication des tableau, le propriétaire de la place doit être l’auteur en question. Je me tire un chaise pour m’assoire sinon vais encore m’évanouire. Une petite dame sort de sa cachette, suivie de quelque protestation des autres.

-« Dumbledore te châtieras d’ici et tu seras donné au détraqueur sans pitié. »

-« Quoi ? pourquoi ça ? »

J’ai du vraiment me cogner la tête trop durement, vraiment pourquoi le directeur qui me connaît atrocement bien, un peu trop peut-être, voudrais me donner au détraqueur ? peut-être que je suis entré dans un endroit qu’il ne fallais pas.

-« Aucune pitié pour le mangemort » s’exclame un autre suivie de quelques brève approbations.

Est-ce que le nom BLACKBURN est écrit dans mon front. Bon dieu se n’est pas vraiment arrivé jusqu’ici tout de même ? Pourquoi on s’acharne sur moi dites. J’ai le goût de leur crier après tout les insultes qui me passe par la tête mais, comme à l’habitude, rien ne sort. Je suis en colère et en même temps j’ai le goût de pleurer. J’en ai assé de toujours être pointé du doigt, que ‘on chuchote mon nom à l’oreille d’un autre, qu’on me regarde comme si tous était supérieur à moi et que je n’étais rien d’autre qu’une merde. Pourquoi moi. Blâmer les eux pas moi, je n’ai rien avoir à tous ça. J’aurais bien aimer le dire mais j’en suis incapable, ça reste bloquer dans le fond de ma gorge et comme à chaque fois, se des mot tout autre à mes véritable sentiment qui en sorte. Je souris bêtement et place une main derrière ma tête pour gratter ma chevelure emmêlé.

-Je crois que vous avez du me confondre, je ne suis qu’un simple élève. Où est l’autre, hum… celui qui as du m’assommé. … Hého, monsieur…. Heuuu… madame…… ben heu vous ! …..hé vous ! vous êtes où ??dit-je en regardant dans tout les sens à la recherche de l'inconnu au yeux dorés

Je passa quelques heures dans la grotte, en silence tentant de me calmer. Celle- ci me rappel tant de souvenirs. C'est à cet endroit que nous nous sommes cachés, pendant la guerre, ma famille et moi. Ce lieu me rappel tant d'effroie, me replonge dans mes pires cauchemars, pourtant, si elle n'avait jamais existé je n'aurai pas survécu. Ni Wardaboul, Laurandar et Rizardal. Comment est- ce possible? Lord Voldemort est disparut, mort. Pourquoi ses serviteurs s'acharneraient- ils sur notre espèce? Pourquoi voudraient- ils du journal de mon grand- père. C'est le seul héritage que je possède, et je n'y vois pas son utilité pour une mission de mangemort. Apprendre sur la vie d'un vieil artomar et ses découvertes artistiques n'a rien de très conquistador. Peut- être ont- ils appris sur les formules... peut- être veulent- ils se recréé une armée à l'aide de l'harvuxe, pouvant faciliter leurs tâche d'espion? Qu'est- ce que je fais ici? Ne serais-ce pas mieux que je meurs...comme tante Rizardal...
il faut absolument je sorte d'ici. Ce n'est pas en restant là que je lancerai l'alarme. Mais j'ai si peur...je préfère rester en boule, je n'ai pas le courage de sortir et d'être à la merci de plusieurs tueurs fou, tel que des mangemorts. Je suis sur mes gardes, mes muscles n'obéisse plus à mon cerveau.
Va avertir Dumbledore lui seul trouvera une solution

Non je ne peux pas. je ne veux pas. Pour ça il faut que je sorte et là le danger m'attend, il va falloir que je quitte la forêt. Si ça se trouve, peut- être que d'autres mangemorts attaquent Poudlard, et que celui qui était dans ma cabane était venu dans la forêt pour voir si il n'y avait personne à tuer.

Si ce n'était pas un mangemort...si ce n'était qu'une personne tout simplement perdu dans la forêt.

.....................................................................non.........................................................................
non...ce n'est pas possible...suis- je bête. J'ai laissé ces tableaux me convaincre de la plus absurde des histoires. Ça ne peut pas être un mangemort. Il aurait sans doute tout s'accager, comme à l'habitude et détruit les tableaux, losqu'ils ont crier.

Si c'était un élève de Poudlard, ou même un professeur.......ou Dumbledore
Ah mon dieu! J'ai assomer quelqu'un sans le connaître, une personne qui demandait peut- être même de l'aide. C'est peut- être même le directeur! J'ai tuer le directeur! Je dois absolument voir si son cadavre est encore vivant..mais non, un cadavre ce n'est pas vivant c'est mort! ahhh! je panique, je n'arrive plus à réfléchir fonctionnelement! Pourquoi je panique, j'ai seulement tuer quelqu'un.......AHHHHH!! D'un coup, je me levai et partit à la course en direction de ma demeure. Tout s'embrouille, jamais je n'avais vécue autant de stresse depuis la guerre. Tout semble se passer dans mon subconscient. Un autre monde dans mon esprit, j'ai l'impression d'être dans un rêve où je suis vraiment ridicule. J'ai tellement honte, qu'est- ce qui m'a pris. À bout de souffle, j'arrivai finalement devant ma maison, la porte toujours ouverte. Je vis de dehors, une personne, baguette à la main . La maison est éclairer, ce doit être le sortilège "lumos". Je m'avança prudamment. le coeur me débat, je sens que mes jambes vont cèder d'une minutes à l'autres. La personne ne semble pas remarqué ma présence et parle aux portraits qui semble tenter d'éviter d'être vue par la lumière voyageant ensemble d'un cadre à l'autres. Au seuil de la porte, je dis d'une voix faible et tremblante:

" Qui êtes- vous?"

Je finis par penser à laisser tomber l’idée de trouver l’inconnu en question, après tout il…. ou elle à du avoir une telle frousse qu’il/elle ne doit pas vouloir revenir de si tôt. En plus de tout ça c’est une violation de lieu privé. Je me lève de ma chaise et me retourne, d’ailleurs, il faut que je pense à retrouvé mon chemin sinon je ne serais pas de retour pour le début des cours. Bon peut-être que ce n’est pas si grave après tout, les cours peuvent bien attendre. Devant moi se trouve mon ‘’agresseur’’ bien que j’ai vraiment vue pire comme agresseur je vous assure. Il ou elle… il va bien falloir que je le sache un jour, je dirais plutôt elle mais bon, évitons de le ou la vexer au cas où, semble bien perplexe, je comprends, comment vous sentiriez vous si quelqu’un se trouvais dans votre demeure à votre arrivée ?

-Qui êtes vous ?

-Heu, je suis… je … je …, Dis-je pris au dépourvue.

Je la … le …arrr -.- … regarde un moment, c’est sur y’a pas de doute sur mon interlocuteur, avec des yeux aussi brillant il est impossible de les oublier.

-hum hum, pardon… Je suis désolé d’être entré à l’improviste chez vous j’était perdu et j’ai entendu des gens alors c’est vous qui faisiez tous ses tableau ? Pardon je suis peut-être indiscret je voulais….

J’arrête de parler et de gesticuler, si je continue je vais manquer de souffle. Je me calme et me reprend plus tranquillement ans pour autant perdre mon grand sourire.

-Je me nomme Simon-philip-yuan-dalho black….

Cette fois mon enthousiasme baisse rapidement et je prend un air plus poser. Si il/elle savais qui était ma famille, si cette personne venait a paniquer une seconde foie et tente de me tuer. Bon suffit Spyd cesse de paranoïer.

-Black… Blackburn, vous vivez ici ? Et vous c’est quoi votre nom ? j’ai entendu parlez d’un livre c’est quoi ? Avec quoi vous peinturez, se n’est surment pas de la penture ordinaire, Du naturel peut-être ??

Je tente rapidement de changer de sujet, et c’est plutôt ridicule comme question d’ailleurs. Mais bon.

-Je désolé, je suis un peu trop imposant ou curieux.